La plus belle Plaza Mayor du pays. Avec 145000 habitants, Salamanque abrite la plus ancienne université encore en activité en Espagne. « Quod natura non dat, Salmantica non præstat » signifiant « Ce que la nature ne donne pas, Salamanque ne (le) prête pas » (phrase populaire). Déclarée au Patrimoine Mondial de l'Unesco depuis 1988, la ville est magnifique, de jour comme de nuit. Paisible mais animée, ses grandes avenues sont pleines de magasins de toutes sortes, hélas le lundi où nous avions l'après-midi libre était un jour férié "San Juan de Sahagun". Faudra revenir ! L'amour toujours! La Plaza Mayor est entourée de ces magnifiques portraits. Casa de las conchas De petits bijoux peu discrets!
Jean-Maire Poiré L'affiche ne reflète en rien le film, pas plus que la bande-annonce. J'ai pris grand plaisir au visionnage de cet épisode 3, qui nous laisse sur une suite possible! Le film a beau durer 1h50, on ne les voit pas passer tant il y a de l'action, du mouvement, des tas d'acteurs qui se croisent (je vous fais grâce du casting, mais il y en a vraiment pour tous les goûts) Perso je regrette un peu que le coté "historique" soit si présent, voire pesant. L'idée de mettre des personnages ayant vraiment existé apporte t'elle quelque chose? En tous cas j'étais super contente de revoir Godefroy de Montmirail et son fidèle Jacquouille, un peu comme on peut revoir des amis lors des fêtes de la Madeleine. Les répliques cultes? "hourra c'est plus laïque" et Jacquouille retrouve "ok" et "c'est dingue" dans la bouche de... (ah ben non, je ne peux le dire!) Mais la réplique qui m'a fait le pl
"L'atelier" est la pièce écrite et jouée par les élèves débutants de l'atelier théâtre "Amis en Scène". Tout plein de personnages loufoques que l'on pourrait cependant croiser dans nos rues : la vieille dame aigrie qui ne supporte personne, la catho tradi et ses onze enfants (pour 9 étreintes brèves en 22 ans de mariage), le seft made man, l'échappée d'un homme violent, l'amateur de musique, l'amoureuse de l'Espagne olé, celle qui veut dire des gros mots (les enfants pouffaient derrière moi), celui qui observe et a du mal à s'intégrer. Ah oui, et le meneur de jeu, un rôle assis, mais qui au début nous a fait lever, bouger, articuler, voire crier. Un très bon moment d'une heure et demie, sans temps mort, où ont alterné chacun des acteurs au devant de la scène, tandis qu'à l'arrière il y avait aussi un jeu de regards, voire d'échange d'accessoires (Gersende et son panier magique). Un public nombreux remplissait
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