SÉVILLE, la ville

 

On traverse en dansant, au feu des arènes !

Beaucoup de balcons arborent un drapeau avec une phrase : "que guapa que esta Sevilla" "Hay vivencias del camino" "saltar la rana"... je n'ai pas tout compris!

Chez Catalina, en face de l'hôtel Don Paco, on a très très bien mangé! Au dessus du saumon mariné à l'avocat, yuzu et petites graines, dessous des raviolis croustillants à la daube de queue de toro.

El rebujito es el mojito sevillan. Et le tarif touristique on l'a bien goûté aussi !

Campo de Féria? Non, les robes dans le Corte Inglès!

Je me demande encore si cet éventail publicitaire était distribué à tout le monde ou bien si c'était ciblé...

Curro Romero,marchant un éternel paseo devant les arènes

Las Setas

A force de tourner dans le quartier, nous y sommes repassés!

Chaque sandwich a le nom d'un torero

Olé, la Sévillane et la Torre de Oro

La  Maestranza

Daniel Luque, une oreille

Juan Ortega, deux oreilles

Enfin nous voilà au Campo de Feria, après une longue attente devant l'arrêt de bus!

Naïve que je suis, je ne pensais pas qu'il me faudrait attendre bien
plus encore à la station de taxis pour le retour!

La CARTUJA

 

Monastère du XIIIè siècle, abandonné par les Chartreux en 1836, le bâtiment fut transformé en fabrique de céramique. Depuis l'expo universelle de 1992, il est propriété du CAAC, centre andalou d'art contemporain. Monastère, chapelle, crypte, rien ne manque dans ce lieu, sauf que c'était en travaux, et personne ne nous l'a dit, surtout pas l'antipathique vendeur de tickets. Bien sûr nous pouvions accéder aux collections d'art contemporain, mais si on avait fait tous ces km (oui en plus c'est loin!!!) c'était pour voir des vieilles pierres, pas des œuvres récentes. Bref j'étais en colère et en colère!

 

 

 

Emilio de Justo, une oreille

Pepe Peregil a sa statue à Séville

Vue du toit de l'hôtel, un endroit dont je n'ai que peu profité!