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Affichage des articles du septembre, 2017

La Peña A LOS TOROS présente YOAN CLEMENT MORCILLO à Mont de Marsan

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  YOAN CLÉMENT MORCILLO EXPOSE À MONT DE MARSAN À L’OCCASION DE LA JOURNÉE TAURINE DU 30 SEPTEMBRE L’artiste istrien, Yoan Clément Morcillo, exposera ses œuvres à Mont de Marsan à l’occasion de la journée taurine du 30 septembre qui sera clôturée par la corrida de Victorino Martin. Jeune photographe, YCM travaille l’image à la manière d’un peintre qui chercherait à travers la couleur et la lumière à retranscrire une atmosphère intense et colorée. Aujourd’hui, à tous juste 30 ans, il a besoin que son travail photographique interpelle et surprenne l’observateur. Pour l’occasion, la PEÑA A LOS TOROS de Mont de Marsan exposera plusieurs pièces de sa collection. Elle sera ouverte à l’issue de la corrida où les toreros devraient se rendre après la course. La VILLA MIRASOL, L’HOTEL-RESTAURANT « LES PYREN É ES », l’HÔTEL DU SABLAR et le restaurant LE PLUMA Ç ON exposeront d’autres pièces de la collection pendant plusieurs semaines. Communiqué

NOS ANNÉES FOLLES

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André Téchiné Le début du film est truffé de flashbacks qui ne s'enchaînent pas de manière très fluide et compréhensible et j'étais un peu déroutée. Au temps présent se mêlait le passé et une histoire de théâtre qui ne faisait qu'embrouiller.  A vrai dire je ne saisissais pas tout mais je ne suis pas très intelligente. Enfin... un mauvais départ. Tout de même une image poignante : un soldat en plein combat de la guerre de 14/18 errant au milieu des tirs, l'air égaré, ne pensant ni à prendre son fusil ni à se protéger,  bref, un type qui ne comprend rien à la guerre. Il s'appelle Paul,  et n'a qu'une envie, sortir de cet enfer.. Il finit par déserter et il revient auprès de Louise,  sa femme qui le cache dans la cave de sa maison. Afin qu'il puisse s'aérer  Louise, a l'idée de le déguiser en femme. Il résiste, refuse, mais finalement, son envie de sortir le pousse à accepter cette proposition. Paul devient Suzanne. Je ne rac

120 BATTEMENTS PAR MINUTE

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Robin Campillo 120 battements par minute... et mon cœur a battu ! Il y a longtemps que je n'avais pas vu un film aussi beau. Pourtant, le sida dans les années 90 alors qu'il n'y avait pas encore de traitement efficace, ça paraît un sujet épouvantable. Oui mais, il y a le génie du réalisateur, des acteurs. Une énergie incroyable, un sentiment d'urgence, une soif de vivre côtoient le drame de la maladie et de la mort. Après une action militante, les adhérents de Act Up, pour la plupart séropo sitifs, s’enivrent de danse et de musique dans une boîte. La scène est longue et nous enivre aussi mais la fête se termine par un écran tout gris, un ailleurs, un infini ou des molécules errent et se cognent. Nous étions dans la vie et nous voilà ramenés vers la maladie et la mort.  J'ai beaucoup aimé ces images subtiles, muettes qui font sans cesse, tout au long du film basculer les émotions. La Seine coule, calmement dans un Paris magnifique, oui, mais

ON RECYCLE LES BOUTS DE LAINE

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PETIT PAYSAN

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Hubert Charuel Pierre est éleveur de vaches laitières. Il a un petit troupeau d'une trentaine de bêtes. Il a repris la ferme familiale, et sa mère le surveille non-stop de la cour. Il aime son métier et ses animaux. Mais aux infos et sur internet, on ne parle que de la maladie, cette fièvre hémorragique belge dont les vétérinaires déciment les troupeaux afin d'éviter la propagation d'un virus dont ils ignorent le mode de transmission. La sœur de Pierre, vétérinaire justement, essaye de le rassurer. Un beau film qui montre comment on peut déraper quand on pense sa cause juste. Comment la sœur l'aide, au départ malgré elle. Dans cet univers pas si gai, quelques scènes drôles éclairent le décor d'une autre couleur. Sara Giraudeau avec ses cheveux rabattus sur le visage ressemble extraordinairement à son père. C'est vraiment bien, allez-y.

LE REDOUTABLE

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Michel Hazanavicius Jean-Luc Godard, amoureux, tourne "la chinoise" avec la femme qu'il va bientôt épouser. Mais l'époque ne comprend pas ce film. Arrive Mai 68, qui va jeter Jean-Luc dans la rue, révolutionner son cinéma, voire le rendre incompréhensible. Et lui faire souvent changer de lunettes. Sa compagne, qui le suit partout, prend pourtant peu à peu de la distance. On ne s'ennuie vraiment pas à regarder le spectacle de Garrel zozotant à souhait, se faisant passer pour un sinistre con, faisant fuir ses meilleurs amis et jusqu'à la femme qu'il aime. Bref un excellent film, une photographie d'une époque! Ce n'est peut-être pas un hasard si on revient à ce style de meubles minimalistes qui décoraient les appartements, c'est très joli! Stacy Martin et Bérénice Béjo sont parfaites. A voir !

Novilleros attention danger !

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p hotos Matthieu Saubion Sans novillada, il n’y a pas d’avenir pour la corrida. Les coûts d’organisation, la faible mobilisation des publics plus attirés par les affiches bling-bling, et l’impossibilité de mettre les novilleros punteros face aux novillos de respect y contribuent largement. Un autre problème qui se pose est la pénurie de novilleros. Cela peut paraitre paradoxal compte tenu du nombre de jeunes gens qui cherchent désespérément un contrat. Le problème, au gré des échanges entre empresas/apoderados est que nous voyons toujours les mêmes. Et plus grave, blasés ou manipulés par leur entourage, ces novilleros manquent de chispa, d’envie de toréer. L’exemple le plus flagrant est la novillada de Bayonne. Sont sortis en piste des Los Maños raisonnables de présentation. A la muleta, en bons Buendias, ils étaient nobles, pastueños et même pour certains franchement sosos.  Ils devaient laisser entre les mains des novilleros leurs oreilles d’autant qu’un des torero

DANS UN RECOIN DE CE MONDE

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Sunao Katabuchi Au début du film Suzu a 7 ans. Elle vit au Japon, à Hiroshima. Elle va à l'école, et aime beaucoup dessiner. En 1944, à l'occasion de son mariage, elle va vivre à Kure, un port militaire. La guerre amène son lot de difficultés, mais elle s'entend bien avec sa belle-famille. Un peu moins avec sa belle-sœur, qui a une fillette adorable. Évidemment on attend une seule chose : que la bombe tombe, puisque nous, spectateurs, savons qu'elle va tomber. Elle arrive pourtant au bout de presque deux heures de ce film qui peut sembler lent, mais qui raconte les jeunes années d'insouciance de Suzu. Le monde qu'elle dessine est celui qui va disparaitre à jamais. C'est beau, c'est triste, et ce n'est pas parce que c'est un dessin animé que c'est pour les enfants, pas du tout! A voir !

RENTRÉE DES CLASSES

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Concours de Saint Perdon, El Pincha et Tibo....................

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Arènes du Plumaçon ; dimanche 26 Août 2017 Novillada concours de Saint Perdon Sont sortis en piste, des novillos des ganaderias suivantes : Celestino Cuadri (quelques sifflets) pour Diego Carretero (silence) Escolar Gil (silence) pour Jorge Isiegas (silence) Valdellan (quelques applaudissements) pour Tibo Garcia (silence) Virgen Maria (silence) pour Diego Carretero (silence) Pedraza de Yeltès (palmas) pour Jorge Isiegas (un avis et silence) El Pincha (vuelta al ruedo) pour Tibo Garcia (un avis et salut au tiers) Salut de Morenito d’Arles au second Quatorze piques, cavalerie Bonijol Président : Pierre Noguès (Roquefort) Musique Al Violin Un tiers d’arène A l’issue du paseo, un hommage a été rendu à Damaso Gonzalez et les deux novilleros espagnols lui ont brindé leur premier novillo. Ciel bas et orageux, pluie du second au cinquième Photos Nicolas Couffignal et Matthieu Saubion, celles de Romain Tastet pas encore traitées, viendront plus t