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Affichage des articles du février, 2019

CÉRÉMONIE DES CÉSAR 2019

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 Kristin Scoot Thomas, la Présidente LE D É CALAGE Je suis restée scotchée par les attributions des César de cette année. J'ai l'impression que le décalage entre les « gens du cinéma » et « le peuple », ceux qui vont voir les films, se fait chaque année plus grand. Un peu comme entre ceux qui nous gouvernent et les gilets jaunes. D'ailleurs depuis l'an passé, un César récompense le film français ayant fait le plus d'entrées. Et donc on a remis un César à Olivier Baroux. C'était d'ailleurs très émouvant, de le revoir avec Kad Merad, des années après leur duo « Kad et Olivier ». Le père de Kad invité sur scène, n'a pas hésité à voler la vedette aux deux « jeunots », sans vraiment le vouloir je crois. Bref Olivier Baroux a reçu un César pour le film qui a fait le plus d'entrées en 2018, c'est à dire « les Tuches 3 » et il en a profité pour prévenir qu'il y en aurait un 4ème. Eh oui, les Tuches, que personne n'avoue avoir vu... L

Parlons "toros" avec BAPTISTE BORDES & MICHEL AGRUNA

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Derniers regards sur la temporada 2018

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Vidéos d'Alain Garres (CorridaTV) Photos de Matthieu Saubion (Vuelta a los toros) Les premiers cartels sont publiés, les autres sont en cours de négociation, les aficionados sortent de leur hibernation et s’étripent sur facebook au sujet, non pas du sexe des anges, mais de la taille des novillos. Certains passent et repassent leurs vieilles cassettes VHS La  temporada débute à Magescq dimanche. Il est donc temps de porter un dernier regard sur la temporada passée et imaginer ce que pourrait être celle de 2019 dans notre Sud-Ouest. 2018 restera marquée par la gravissime blessure de Thomas Joubert aux arènes de Bayonne. Le torero arlésien ne doit la vie qu’à la qualité et l’efficacité de l’équipe médicale de la placita basque. Il est grand de clouer le bec à ceux qui, donneurs de leçons, se permettent de mettre en cause l’activité de ces praticiens bénévoles et aficionados qui sont capables de faire des miracles.  Sans eux pas de tauromachie et l’augmentation des c

GUILLO "MACADAM ANIMAL"

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Quand on est fan, recevoir le nouveau disque de Guillo, c'est avoir la joie d'écouter une dizaine de nouvelles chansons. Et puis non, parce que je vais tellement souvent le voir en concert qu'il y en a deux que je connaissais déjà. "la neige" dont il a retrouvé le texte dans le grenier familial, écrite par son grand-père qui parle de la neige tombée un matin en Algérie. Une chanson simple et sublime. "un caillou" texte écrit par un punk Suisse : Fox Kijango. Un truc qui laisse sans voix, une histoire d'hier et d'aujourd'hui. La découverte des "nouvelles" chansons commence donc avec "nous aimions la terre" : ça parle d'exil. On peut imaginer le départ d'Algérie des Pieds-Noirs, des migrants d'aujourd'hui ou bien de ceux de demain fuyant la Terre. Le tout sur une mélodie qui s'accroche dans la tête et que l'on se prend à fredonner après le disque fini. Je n'ai pas (pour le moment) trop

CUMUL DE FONCTIONS

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L’ÉCUME DES JOURS

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d'après Boris Vian Compagnie Underground Sugar  Le directeur du Théâtre de Gascogne, Nicole Bertolt représentante de la Cohérie Boris Vian, la metteur en scène, l'adjointe à la culture de Saint Pierre du Mont et Agglo.  Fan de Boris Vian depuis mon adolescence, je ne pouvais manquer le programme de ce soir. Heureusement que je connaissais l'histoire de Chloé et Colin! Visuellement c'est très beau. Ces projections, les autres acteurs qui ne sont présents que sur écran. Mais à part le visuel, c'est un peu... déconcertant. On a l'impression que l'acteur récite des extraits du texte de Boris Vian dans le désordre. Je ne pense pas que ces morceaux soient choisis au hasard, mais la question se pose. Je ne peux pas dire que ça ne m'a pas plu, mais je ne suis pas sortie de là en criant au génie. Axel Beaumont dans le rôle de Colin Jusqu'au 16 février dans le hall du Pôle, une expo sur Boris Vian. Entrée libre.

BULLES DE JAZZ

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Centre d'Art Contemporain du 8 février au 23 mars 2019 entrée gratuite jusqu'au 18 février CHRISTIAN CAILLEAUX Portraits de Boris Vian  Le Major s'échappe par la fenêtre... AFFICHES DU COLLECTIF CONTREBANDE : vraies affiches par des graphistes, annonçant des concerts improbables

QU'EST CE QU'ON A ENCORE FAIT AU BON DIEU ?

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Philippe de Chauveron Dans la première histoire, la dernière des quatre filles Verneuil épousait un catholique noir, après que ses sœurs aient épousé des hommes de cultes différents. Cette fois les parents, toujours bourgeois installés à Chinon, vont apprendre que leurs filles, gendres et petits-enfants veulent partir... à l'étranger. Marie Verneuil n'étant pas prête à voir partir ses filles et ses petits-enfants, les voilà qui font tout pour convaincre leurs gendres que la France ce n'est pas si mal. De son côté, Monsieur Koffi va marier sa fille en France, et demande donc à la belle-famille de son fils de prêter la maison. C'est excellent!!! Tout à fait dans la veine du premier film, on est content de retrouver tous les acteurs. Même si Papa Verneuil semble du coup beaucoup plus cool, ça doit être l'effet retraite. Il ne pêche plus, il écrit. Maman Verneuil s'est mis aux réseaux sociaux et à la marche nordique. Le curé est toujours aussi moderne, ave